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Les Secondes A de l’Harteloire découvrent « Là où est la mer… »

Au CAC Passerelle, les œuvres présentées dans le cadre de la Saison Africa 2020 nous parlent d’environnement peu durable, de pollution, d’une déesse et de migrations.

Trois œuvres majeures ont retenu notre attention :

Avec des toiles de jute et du plastique, du jean, des silhouettes allongées et des croix pour dénoncer la traversée périlleuse des migrants, c’est un commerce d’un nouveau genre qu’évoque l’Ivoirien Ange Arthur Koua.

En parallèle, un subtil jeu de lumière éclairait une mer calme sous un clair de lune de l’artiste franco-togolais Clay Apenouvon ; sa création, en mêlant film d’emballage plastique et couvertures de survie dorées, nous montre une mer polluée et dangereuse pour l’homme.

Enfin, l’œuvre la plus surprenante était sûrement la représentation de la divinité Mami Wata de la Camerounaise Beya Gille Gacha  : une créature incroyable, dans sa baignoire d’eau de mer, entourée d’algues, toute de perles bleues composée, à la fois paisible et effrayante, et tellement